Description
Les auteurs
Jeanne Doré
Cofondatrice du site Auparfum en 2007 et de la revue Nez en 2016, elle a contribué à démocratiser la critique de parfum et a su s’imposer comme une figure incontournable de la culture olfactive.
Yohan Cervi
Rédacteur pour Auparfum et Nez, il est spécialiste de l’histoire de la parfumerie du XXe siècle, et anime des ateliers olfactifs sur le sujet. Il est cofondateur du laboratoire indépendant de création Maelstrom.
Alexis Toublanc
Formé au métier de parfumeur à l’Isipca, il écrit pour Nez et, depuis 2010, pour Auparfum. Il est membre fondateur du premier prix du parfum indépendant en France, l’Olfactorama.
ET LES RÉDACTEURS D’AUPARFUM
Aurélien Caillault, Cécile Clouet, Thomas Dominguès, Jean-Luc Emanuele et Clara Muller.
Et le sommaire :
1880 – 1939 : L’âge d’or de la parfumerie moderne
L’apparition de la synthèse chimique dans les formules des parfumeurs bouleverse leur manière de travailler. Les créations sont alors plus abstraites et artistiques, et parmi elles demeurent des grands chefs d’œuvre comme Jicky, Tabac blond, N°5, Joy…
1940 – 1969 : Des couturiers aux hippies
Entre l’essor des couturiers parfumeurs à partir des années 40 et la vague de fraicheur à la fin des années 60, cette période riche en évolution voit naître de grands succès tels que Femme, Miss Dior, L’Air du temps, Eau sauvage…
1970 – 1979 : Un vent de liberté
La publicité prend plus de place et les parfums de marques de prêt-à-porter font leur apparition. N°19, Rive gauche, Opium, Mûre et Musc, Eau d’orange verte illustrent la diversité olfactive de cette décennie.
1980 – 1989 : Le règne du marketing
Les compositions se font plus puissantes et exubérantes, jouant sur la transgression et l’opulence, à l’image de Poison, Loulou ou Obsession, tandis que la masculinité s’affirme, à l’instar de Kouros ou Bel ami.
1990 – 1999 : Une parfumerie de fin de siècle
Le marché de la parfumerie s’internationalise, de nouvelles tendances olfactives s’imposent, entre fraîcheur purifiante et douceur régressive. L’Eau d’Issey, Angel, Trésor, Le Mâle incarnent la dernière décennie du XXe siècle.
2000 – 2009 : L’éveil de la niche
Alors que les lancements se multiplient, émerge une nouvelle parfumerie indépendante et innovante appelée « la niche ». Flower by Kenzo, For Her, Bois d’argent, Carnal Flower ou encore Terre d’Hermès ont marqué cette période.
2010 – aujourd’hui : Mutations en marche
Tandis que la niche poursuit son essor et intéresse les grands groupes du luxe, les parfums deviennent plus calibrés, stéréotypés, mais de belles créations tirent leur épingle du jeu : Portrait of a Lady, La Panthère, Misia, Cuir d’ange…
Nouveau chapitre : Les parfums qu’il aurait fallu sentir avant qu’ils meurent.
Pour chaque parfum présenté, retrouvez :
son créateur, sa date de sortie, les différents formats disponibles, et celui considéré pour la rédaction du texte, une mini-lignée mentionnant un ancêtre et un descendant de ce parfum, les personnalités qui l’ont porté, les films dans lesquels il apparaît, les distinctions qu’il a remportées.
farnesiano –
Mais quelle merveilleuse nouvelle ! On se réjouit, on exulte, on se lèche d’avance les babines. Merci déjà et déjà bravo !
Et le bonheur de retrouver autour de Jeanne, Opium, Jicky, Newyorker, et tous les autres…
Thelittlebox –
Hello,
Il s’agit d’un regroupement des critiques d’Auparfum ?
Thelittlebox –
Hello,
Il s’agit d’un regroupement des critiques d’Auparfum ?
jdore –
Bonjour The Littelbox, certaines critiques ont été reprises d’Auparfum, mais elles ont toutes été réécrites, améliorées, complétées, allongées ou raccourcies, et d’autres sont totalement inédites !
Beer Luc (client confirmé) –
Reçu aujurd’hui avec joie.
Voilà enfin LE livre qui parle de parfums,celui qu’il faut avoir absolument dans sa bibliothèque.
Un tout grand merci à Jeanne pour sa dédicace,this book will become collector.
Vesper (client confirmé) –
Je viens de le recevoir et, si après avoir lu le dossier sur le site, je considérais qu’il était important d’acquérir ce recueil de critiques, je suis enchanté par l’objet en tant que tel.
Le format, l’épaisseur, les illustrations d’un graphisme exquis, la présentation générale avec toutes ces infos… Ces cent onze parfums perpétuent à merveille l’esprit d’Auparfum. Le fond et la forme sont réunis pour en fait un objet à s’offrir ou à offrir.
Je m’en vais de ce pas en commander quelques exemplaires supplémentaires.
farnesiano –
Je consulte depuis hier le merveilleux guide des Cent onze parfums qu’il faut sentir avant de mourir. Outre le fait de savourer la présentation originale et d’un goût moderne très sûr (ah! ces dessins représentant les flacons de face, de profil ou vus d’en haut), c’est un vrai bonheur que de manipuler ” l’objet” et de découvrir une longue liste aussi pertinente qu’utile, liste qui nous permet aussi bien de nous conforter dans nos choix que de découvrir, ou mieux encore de redécouvrir, des parfums que nous n’aimions pas ou plus, que nous avons trop sentis ou simplement négligés. Une réelle passion communicative anime l’équipe des rédacteurs qui ont dû, j’imagine, faire une croix sur de fabuleux parfums auxquels ils sont attachés, comme on l’est à des musiques, des films, des livres… Ainsi d’aucuns pourraient regrtter l’absence de Bandit, de Cristalle, d’Arabie, de Déclaration d’un Soir, de L’Heure exquise, de mon parfum chéri, d’Ambre fétiche, de Sycomore, de l’Eau de Campagne, de Spellbound, d’Antæus, de Bois d’Ascèse, de Must, d’En Avion, de Farnesiana, du Parfum de Thérèse, de L’Eau d’Hiver, de l’Eau de Mezhrin, de l’Eight & Bob, de l’Ylang 49 , de Rien, de Sahara Noir, de Bois d’Iris ou de l’Iris bleu gris ou encore des si poétiques Mona di Orio… A chacun ses coups de cœur évidemment et à chacun de prolonger sa liste personnelle. Pour ma part, je me réjouis d’avoir encore tant de beaux parfums auxquels succomber parmi les 111 proposés ! Bravo encore à toute l’équipe, et … MERCI !
PascaleELLE –
Bientôt 5 étoiles: il manque juste les box qui correspondent aux parfums à sentir avant de mourir ;-)